En cas d'urgence: que faire ? BoutonLSQ-20Web.jpg

 

1379450093_exclamation-circle-frame_basic_yellow.pngImportant

    • Si vous êtes en situation d'urgence
    • Si vous craignez pour votre sécurité, pour votre intégrité physique ou pour votre vie
    • Si vous êtes témoin d'une agression
    • Si vous venez d'être victime d'une agression sexuelle
Appelez immédiatement les services d'urgence au 911 (services policiers, des ambulances ou des incendies).

 

Si vous êtes victime d'une agression sexuelle récente, il est conseillé de vous rendre à l'un des centres désignés pour recevoir de l'aide médicale et psychologique. Que vous portiez plainte ou non, que vous ayez des blessures physiques apparentes ou non, vous avez le droit de recevoir cette aide. Du personnel professionnel formé pour intervenir auprès des victimes d'agression sexuelle vous accueillera et vous accompagnera dans vos démarches. Sachez que toutes les étapes de l'intervention se dérouleront avec votre accord.

On trouve des centres désignés dans toutes les régions du Québec. Ces centres offrent des services confidentiels aux victimes d'agression sexuelle, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. À Montréal, les centres désignés sont situés dans les urgences des hôpitaux et dans les CLSC. Cliquez ici pour accéder à la liste des centres désignés de Montréal.

1379450054_question-balloon_green.pngSaviez-vous que?

Vous pouvez consulter le bottin des ressources ou téléphoner à la ligne-ressource provinciale pour que l'on vous oriente vers les services appropriés.

Phone green
Montréal: 514 933-9007
Ailleurs au Québec:
1 888 933-9007
  • Si l'agression remonte à cinq jours ou moins, il est conseillé de vous rendre à un centre désigné dans les plus brefs délais pour recevoir de l'aide physique et psychologique. Du personnel qualifié vous proposera de passer un examen médical et un examen médicolégal, et vous offrira un soutien psychologique. Vous pourrez aussi compléter une trousse médicolégale, et ce, même si vous n'avez pas décidé de porter plainte aux services policiers. Les prélèvements médicolégaux doivent être effectués très rapidement si l'on veut s'assurer du bon résultat des tests.

  • Si l'agression remonte à plus de six jours, il est tout de même conseillé de vous rendre à un centre désigné pour passer un examen médical et pour recevoir un soutien psychologique. Dans ce cas, on suggère de téléphoner au centre désigné pour prendre un rendez-vous.

  • Si l'agression remonte à plus d'un an, il est conseillé de contacter une autre ressource que le centre désigné. Plusieurs ressources existent et peuvent vous soutenir dans vos démarches. Pour trouver une ressource, téléphonez à la ligne ressource en agression sexuelle ou consultez notre bottin des ressources.

Les mêmes conseils s'appliquent dans le cas où l'agression a été commise sur un enfant.

1379450054_question-balloon_green.pngSaviez-vous que ?

Toute personne ayant des raisons de croire qu'un enfant subit ou risque de subir une agression sexuelle a l'obligation de faire un signalement à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ).

Les intervenantes et intervenants ont également l'obligation légale de faire un signalement s'ils soupçonnent un cas de maltraitance ou d'agression et si un enfant leur dévoile une agression sexuelle. La confidentialité et le secret professionnel prévus dans les codes de déontologie des médecins, des psychologues et des psychothérapeutes, ne s'appliquent pas dans les cas d'agression sexuelle sur un enfant.

Pour un signalement, contactez en tout temps la ligne confidentielle de la DPJ au 514 896-3100 (région de Montréal) ou cliquez ici pour en savoir plus.

 

 

Développement web : ViGlob